En France métropolitaine, 1330 lieux de vie informels ont été expulsés sur 2021, soit 427 personnes expulsées en moyenne par jour. Le collectif appelle le nouveau gouvernement à se pencher sur la question de la résorption digne et durable des squats et bidonville et voter une loi dans ce sens.
Les associations partenaires de cet observatoire sont : la Fondation Abbé Pierre, Médecins du Monde, la Ligue des droits de l’Homme, le Collectif National Droits de l’Homme Romeurope, la Plateforme des Soutiens aux Migrant·e·s, Human Rights Observers (projet porté par l’Auberge des Migrants), la Fédération nationale des associations solidaires d’action avec les Tsiganes et les Gens du voyage (FNASAT) et l’Association Nationale des Gens du Voyage Citoyens (ANGVC).
A lire :
Article de la revue La Gazette, publié le 20 mai 2022
Article du journal Le Monde, publié le 19 mai 2022
Pour aller plus loin, télécharger :
- le rapport 2022 "Pour une politique d’inclusion et de dignité à l’égard des habitant·es de squats et bidonvilles " - CNDH, publié le 19 mai 2022
- Le communiqué de presse du 19 mai 2022