Objectif de cette union inédite dans la région : quantifier l’empoussièrement des travaux afin de constituer une base de données utile à l’harmonisation des pratiques et des dispositifs. Le procédé est encore expérimental. Emballé dans une combinaison à travers laquelle rien ne peut filtrer, relié à un système de ventilation assistée permettant de respirer et équipé de capteurs de mesure du niveau d’empoussièrement amianté, l’agent peut intervenir.
Lire l’article. Source : Le Moniteur, 8 juin 2018.