Actualités Habitat n°1208

Dossier : espaces verts, partager les jardins Eco-quartiers : une nouvelle culture urbaine Technologies de l'information : les Hlm à l'heure du numérique

Mobilisation générale auprès de tous les acteurs du vivre-ensemble Interview d'Isabelle Rueff, présidente de l'Institut Hlm de la RSE Mission Outre-mer : un séminaire sur les nouveaux financements européens

L'USH et Val'Hor, l'interprofession de l'horticulture, de la fleuristerie et du paysage, ont travaillé ces dernières années à identifier les enjeux du renforcement de la place du végétal au sein du patrimoine HLM. Travailler à l'intégration croissance de la "nature en ville" invite ainsi à concevoir et gérer des aménagements paysagers qualitatifs et adaptés aux impératifs de facilité de gestion et de maîtrise des coûts. C'est un savoir-faire qui doit ainsi être déployé tout au long des phases de l'opération, de la définition du programme à la phase travaux et naturellement en gestion. Afin d'aiguiller la maîtrise d'ouvrage HLM, ce Cahier Repères n°97 propose plusieurs recommandations et retours d'expérience.

L’ouvrage présente une multitude d’idées pour réintroduire la nature au coeur de la cité.

Les jardins familiaux au coeur des villes

C’est pour donner à voir l’engagement du Mouvement Hlm dans le maintien et la réintroduction de la biodiversité que l'Union sociale pour l'habitat, en partenariat avec la Maison Deyrolle et avec le soutien de la Caisse des Dépôts, a réalisé l'ouvrage La Nature Retrouvée – Hlm et Biodiversité. Cet ouvrage expose les différentes approches de réintroduction de la nature au service de nos patrimoines.

Présentation des formes et des usages novateurs, récréatifs ou utilitaires, du toit contemporain. A partir de projets existants et d'études de cas, les auteures montrent comment réinvestir les toits pour produire de l'énergie, des ressources (eau et végétaux) ou des espaces de vie et de loisirs.

Les organismes Hlm ont investi l’agriculture urbaine dès le début du 20ème siècle avec les cités-jardins puis les jardins partagés. Désormais, et sous l’impulsion des autorités publiques, tant nationales que locales, les formes d’agriculture urbaine se diversifient et répondent à des objectifs environnementaux, sociaux et économiques dans les territoires (lien social, alimentation saine et durable, biodiversité, nature en ville, tranquillité résidentielle, développement d’activités économiques, etc.).