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Pierre-René Lemas, a remis le 15 janvier à la ministre chargée de la transition écologique, de l’aménagement du territoire et du logement et à la ministre de la culture, le rapport du groupe de travail qu'il présidait depuis décembre 2019, à leur demande, sur la qualité d’usage et la qualité architecturale du logement social en France. L'objectif de ce groupe de travail était "en particulier de définir de nouveaux modes de faire entre maitres d’ouvrage et architectes". Ce rapport propose des pistes d’amélioration sur la qualité globale du logement social tout en prenant en compte l’insertion urbaine dans le dispositif.

Le Pacte national signé le 13 novembre entre l'Etat et 9 signataires dont l’Union sociale pour l’habitat, France urbaine, l'Association des maires de France, l'Assemblée des communautés de France et l'Ordre des architectes, vise à promouvoir la construction neuve durable de logements, notamment de logements sociaux, et la réhabilitation des logements existants, en particulier en zone tendue ou sur certains secteurs en mutation des zones peu denses

Cette étude sur la prise en compte des nouveaux usages et des modes d'habiter propose un benchmark de 18 opérations, une analyse détaillée de 5 d'entre elles, ainsi qu'un guide méthodologique comportant 6 fiches pratiques pour concevoir, exploiter et financer la mise en oeuvre d'espaces partagés au sein d'opérations du logement social.

En 2019, PROCIVIS Eure-et-Loir a réalisé sur Chartres un projet de démonstrateur de l’emploi de béton de granulats recyclé intitulé « le Onze » (GR1 sont issus de la démolition). PROCIVIS Eure-et-Loir s’est aujourd’hui engagé dans la réalisation d’un second projet, Olympi, qui vise, comme autres objectifs, une généralisation de l’utilisation des granulats de béton recyclé. L’appel d’offres auprès des entreprises pour le commencement de ce projet devrait être lancé avant la fin de l’année 2020.

Le Plan urbanisme construction architecte (Puca) a publié le 6 novembre 2020, une note d’analyse sur l'impact de la crise sanitarie sur les conditions de logement.Elle montre le rôle amplificateur de la crise sur le mal-logement,pour les plus précaires et les ménages en su-occupation, elle interroge les spatialités et fonctionnalités du logement et esquisse des scénarios pour penser l'avenir du logement.

Audrey Gicquel habite un habitat participatif depuis 2012 et accompagne des groupe-projets depuis 2018. Elle livre dans cet ouvrage son expérience et ses connaissances dans le domaine de l'habitat participatif et de l'intelligence collective.

L'Union sociale pour l'habitat édite chaque semaine une synthèse de la presse nationale et locale. Prises de positions du Mouvement, actualités législatives, annonces gouvernementales, actualités associatives, échos des régions... tout est dans votre rendez-vous hebdomadaire.

La Direction des affaires juridiques (DAJ) de Bercy publie une fiche de douze "Questions/réponses" sur les conséquences de la crise sanitaire sur la commande publique. Cette fiche en libre accès est destinée aux acheteurs publics.

Le Moniteur consacre un dossier à la gestion, par les acteurs du BTP, de la crise sanitaire induite par l'épidémie du Coronavirus. Les initiatives solidaires se multiplient tels que les dispositifs mis en place par les bailleurs sociaux pour accompagner leurs résidents les plus fragiles ou isolés.

La revue D'Architectures consacre un dossier à l'utilisation de la terre crue qui connaît une recrudescence dans le secteur du bâtiment. Considérée aujourd'hui comme une ressource locale, peu énergivore et peu coûteuse, la terre crue présente de nombreux avantages mais il reste encore à définir des règles professionnelles. D'Architectures présente plusieurs exemples et témoignages d'experts (architectes, maître d'ouvrage,...).

Ces dernières années, suite à la réapparition des bidonvilles et au changement climatique, une réflexion sur le microhabitat, expérimenté durant les trente glorieuses, réapparaît. La construction en bois est privilégiée pour répondre aux questions d'économie de moyens et de réemploi. A travers plusieurs exemples, l'article du Moniteur montre que les exemples se multiplient.

La revue Ecologik consacre un article à la construction, à Montreuil, de logements en PSLA (Prêt Social Location-Accession) à très faible consommation d'énergie. Ce projet de résidence sociale réalisé par l’architecte Benjamin Fleury respecte les exigences du label passif MINERGIE-P, principe reposant sur la réduction de la consommation énergétique pour chauffer les bâtiments.

Le Mouvement Hlm est interpellé par les contraintes financières qui pèsent de plus en plus lourdement sur les organismes Hlm : diminution des recettes, normes et réglementations coûteuses à mettre en oeuvre, surenchérissement des opérations de construction neuve et réhabilitation. Les organismes Hlm sont eux-mêmes de plus en plus souvent interpellés par les collectivités locales sur la maîtrise du coût résidentiel à mesure de la paupérisation de la demande et de l’émergence de la notion « d’abordabilité » des logements. Ce cahier présente les leviers d'optimisation de la production et de l'exploitation permettant de répondre à l'équation posée par la loi Elan : « construire plus, mieux et moins cher ».

Alors que la vente Hlm s'intensifie en France sous l'effet de la loi ELAN et des conséquences de la réduction de loyer de solidarité (RLS), l'Union sociale pour l'habitat et l'Institut Caisse des Dépôts pour la recherche ont souhaité réaliser un état de la recherche sur la vente de logements sociaux en Europe.

L’article L.441-2-8 du Code de la Construction et de l’Habitation dispose que les organismes sont « tenus de porter à la connaissance du public, avec leur description et leurs conditions d’accès, les logements sociaux vacants au plus tard au 1er janvier 2020 ». Les organismes sont réputés remplir leurs obligations s’ils adhèrent à un dispositif mis en place à l’échelle départementale, régionale ou nationale.

Le décret paru au journal officiel du 31 décembre 2019 fixe à 232 le nombre de communes exemptées pour la période 2020-2022, soit 42 communes de moins que pour 2017-2019.